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Pourquoi mon enfant ne dort pas ?

Difficultés d’endormissement, rituel du coucher à rallonge, réveils nocturnes, tous les parents sont, un jour, confrontés à certains troubles du sommeil chez leur enfant. Peurs, cauchemars, terreurs nocturnes, les raisons qui expliquent pourquoi votre enfant ne dort pas sont nombreuses. On fait le point sur toutes ces situations et on vous livre quelques clés pour y faire face.


Les peurs au coucher peuvent expliquer pourquoi votre enfant ne dort pas

Chaque soir vous revivez le même scénario... Votre enfant rechigne à aller se coucher. Souvent le rituel du dodo traîne en longueur jusqu'à l'excès : il réclame une autre histoire, un énième bisou, ou se relève plusieurs fois pour aller aux toilettes ou boire un verre d'eau. Dans le pire des cas, pleurs et cris s'enchaînent.

Peut-être que votre enfant cherche à vous tester, et à repousser les limites fixées… Mais il peut aussi s'agir de peurs qui expliquent pourquoi votre enfant ne dort pas. Ce trouble est fréquent chez les enfants âgés de 3 à 6 ans : peur du noir, peur des monstres, peur des bruits inconnus… Pour les plus âgés, c'est parfois la peur d’être le dernier à s’endormir qui prédomine.

Même si ces peurs vous semblent farfelues et non raisonnables, elles sont bien réelles pour votre enfant, tout comme les émotions ressenties, et perturbent son endormissement. Pour régler ce trouble du sommeil, le rôle des parents est de mettre l’enfant en confiance lors du coucher. Cet instant doit être vécu de façon sereine et positive, et non pas comme une situation de séparation difficile ou un moment conflictuel.

Comment faire face aux difficultés d’endormissement de votre enfant ?

  • Ne vous mettez pas en colère quand votre enfant ne dort pas. Ne pensez pas qu’il fait un caprice. Vous devez plutôt chercher à l’écouter et à adopter une attitude calme et affectueuse. 
  • Nommez les peurs et les sensations. Plus vous en parlerez avec lui, plus il sera facile pour lui de réussir à les dominer. Incitez-le à s’exprimer, grâce à des dessins par exemple.
  • Cherchez avec lui des solutions pour s'endormir sereinement. Par exemple, mettez à sa disposition des objets qu’il peut utiliser quand il a peur, comme une petite veilleuse, une lampe de poche qu’il peut garder dans son lit pour se rassurer.
  • Lors de la routine du soir, aidez-le à se débarrasser des tensions de la journée, de son anxiété, et à se préparer au sommeil. Les massages peuvent être une solution intéressante.

Avec la box de méditation et de sophrologie Mon Petit Morphée, l’enfant peut s’initier aux exercices de relaxation via la respiration. Cet objet l’accompagne ainsi vers le sommeil chaque soir.

  • Parlez-lui des peurs que vous aviez lorsque vous étiez enfant. Il se rendra ainsi compte qu’il n’est pas le seul concerné et que ce n’est pas une fatalité.

À éviter

Lorsque votre enfant ne dort pas le soir, évitez de rester dans sa chambre en attendant qu'il s'endorme ou de dormir avec lui. Vous pensez certainement bien faire, en voulant le rassurer ou le protéger, mais cela ne fait que renforcer son idée qu’il existe quelque chose de dangereux à s’endormir seul.

Mon Petit Morphée

Les cauchemars

Peut-être que votre enfant ne dort pas à cause de cauchemars nombreux. Les cauchemars sont des mauvais rêves qui apparaissent généralement à partir de l’âge de 2 ans. Ils peuvent être assez fréquents entre 3 et 10 ans. Ils surviennent généralement au milieu ou en fin de nuit.

Les cauchemars représentent un trouble du sommeil pour l’enfant et peuvent devenir problématiques quand ils sont très fréquents (plusieurs fois par semaine). Tout d’abord parce qu’ils interrompent la nuit brutalement. Selon l’âge, l’enfant crie et pleure, et vous appelle pour être rassuré. À partir d’un certain âge, l’enfant a besoin de raconter son rêve et de parler de cette frayeur. Ensuite, le retour au sommeil est souvent difficile après un cauchemar.

Enfin, ils peuvent entraîner une crainte d’aller se coucher.

Comment réagir lorsque votre enfant fait un cauchemar ?

  • Bien sûr, allez le voir pour le rassurer.
  • Expliquez-lui ce qu’est un cauchemar : oui c’est effrayant, mais une fois que c’est fini, il ne revient plus.
  • Incitez-le à raconter son cauchemar, pour le transformer en une version positive (une créature inconnue et biscornue peut être finalement drôle, laissez-le imaginer qu’il triomphe sur le monstre, etc.).
  • Fabriquez un attrape-rêves, qui symboliquement aura pour rôle de chasser les cauchemars.

Comment faire si votre enfant refuse de se coucher par crainte des cauchemars ?

  • Rappelez-vous que faire dormir votre enfant dans votre lit, ne résoudra rien. Accepter signifie lui donner une bonne raison d’avoir peur.
  • Rassurez-le et accordez plus de temps au rituel du soir
  • Lisez des livres expliquant ce genre de situations.
  • Si votre enfant est soumis à un stress dû à des changements (séparation, future naissance, déménagement…), parlez-en pour que la situation devienne moins angoissante.
  • Si votre enfant ne dort pas, limitez l’exposition aux médias qui peut créer des peurs ou des incompréhensions. Évitez les films violents.

Les terreurs nocturnes

Souvent confondues avec les cauchemars, les terreurs nocturnes sont pourtant beaucoup moins fréquentes, mais souvent plus impressionnantes pour les parents. En effet, elles se traduisent par un « éveil » brutal, pourtant l’enfant n’est pas réellement réveillé. Il ne répond pas quand on lui parle et peut prononcer des paroles incohérentes. Rassurez-vous elles sont sans danger pour l’enfant. 

Les terreurs nocturnes touchent en général les enfants âgés de 2 mois et 8 ans. Elles surviennent plus souvent en début de nuit, notamment dans la phase de sommeil profond.

Comment reconnaître une terreur nocturne ?

Plusieurs éléments permettent de distinguer terreur nocturne et cauchemar.

Déjà, dans le cas de la terreur nocturne, l’enfant ne cherche pas le contact de ses parents (contrairement au cauchemar où il a besoin d’être rassuré).

Ensuite, le comportement peut sembler étrange et perturbant (regard vide, discours incohérent, désorientation, agressivité…). Parfois, l’enfant ne supporte pas d’être touché ou tenu.

Enfin, une fois l’épisode terminé, votre enfant est capable d’aller se recoucher rapidement, sans difficulté et sans se rendre compte de rien. 

Comment réagir face aux terreurs nocturnes ?

Un enfant qui ne dort pas est fatigant et inquiétant. Pourtant, peurs au coucher, cauchemars et terreurs nocturnes sont tout à fait normaux. Ils servent à extérioriser ses craintes et angoisses. Souvent ils surviennent lors d’étapes de transition dans la vie : entrée à l’école, arrivée d’un frère ou d’une sœur, déménagement, décès…

Toutefois, si la fréquence est très élevée et que la situation dure, il est nécessaire d’en parler à un médecin.

Mon Petit Morphée est le compagnon idéal de votre enfant : au moment du coucher, il lui permet de s'endormir facilement et en journée il lui permet de retrouver le calme. Une ressource importante pour bien grandir.


Mon Petit Morphée propose 192 séances de méditation, histoires méditatives, sons de la nature et musiques douces, toutes réalisées par des professionnels de la relaxation chez l’enfant.


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